Parfois, dans un souffle si pur,
La lumière vient comme en se jouant,
Dessiner ses brunes épures,
Et ses reflets élucubrant.
Fantômes et vaines carcasses,
Menus objets insignifiants,
Et menus grains de poussière,
S’en vont dans ses bras entêtants,
S’auréoler de vains mystères,
S’habiller de rêves brillants.
Et dans ce damier noir et blanc,
Ourlé comme des paupières,
Formes et matières
S’en vont gaiement,
Vivre en ombres passagères….
Belles images! « Vestirse de brillantes sueños », es solo un ejemplo perfecto. Un abrazo grande.
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Mille mercis, Barbara !
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