Brisant de lignes pures le chant heurté
Du soleil mirant ses rayons indociles
La lumière en tombant joue de façon maligne…
Je demeure silencieuse de l’obscure clarté
De l’étang entourant de son cercle impavide
Le silence hivernal, dans ses eaux, enfermé
Ophélie sans visage, j’aimerais glisser
Sur le tapis de givre où je serais scellée
Oiseau de noir augure et de sang oppressé
Jusqu’à ce qu’éclatant sous un printemps fébrile
L’étang se délitant m’ouvre ses eaux futiles
D’où je reviendrais nue, phénix retrouvé….
Super beau poème et superbe photo! J’aime beaucoup, beaucoup. Bisous.
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Merci Barbara !
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A reblogué ceci sur lesgensdechauprix.
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C’est comme « le travers du paradis d’Ophélie »– http://ecritscrisdotcom.wordpress.com/2012/02/06/le-travers-dparadis-ophelie-rc/
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:)!
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