3 petites images, rouges de leurs périmètres rétrécis.
Pendant que mon cerveau peine à étudier Husserl
Et sa phénoménologie pure
Qui contraint mes synapses indigentes
Mes dendrites étiques à surchauffer
Mon œil lui traque le minuscule
L’infini des
idées
Le microcosme en revers
Deux miroirs qui se dupliquent et se
rejoignent
J’aime à naviguer dans ces mondes
parallèles
Où Gulliver et Lilliput se sourient !
Les périmètres rétrécis ne sont pas synonymes d’idées courtes, merci pour le partage, Colette.
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Ouf oui, heureusement! Merci Hervé !
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Très belle, delicieuse, J’adore!
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Merci beaucoup ,chère Barbara !
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