C’est juste ainsi que j’imagine, tissus soyeux et endiablés,
Vos robes dans le vent de l’été.
Ombres et couleurs mélangées et transpercées de lumière,
A peine plus réelles qu’une idée,
Aussi jolies que des chimères…
C’est juste ainsi que j’imagine, tissus soyeux et endiablés,
Vos robes dans le vent de l’été.
Ombres et couleurs mélangées et transpercées de lumière,
A peine plus réelles qu’une idée,
Aussi jolies que des chimères…
Trois belles chimères, Phédrienne !!!
Gros bisous, belle dame.
J’aimeJ’aime
Merci Madame !
J’aimeJ’aime