La femme bleue cherchant en ses courbes infinies
La sagesse du monde est un rêve assis
Rondes d’oiseaux dansant en mouvements rythmés
Par la grâce du vent, la traversent et la parent
Et leurs cœurs palpitants sont de justes fanfares
Où murmure l’écho du ciel …
Le silence est entré dans les âmes tranquilles
Et la fraîcheur nacrée des heures sans nuages
Je resterais bien là baignant dans ces eaux douces
Tant me parle un silence éloquent et gracieux
Je suis la femme bleue pour un instant qui passe
Et se pose et retiens mon cœur mystérieux…
Trés beau tableau et superbe poème; « la mujer azul buscando en sus curvas infinitas… », realmente precioso todo el poema.
Bisous en bleu !!!
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Des bisous bleus de Barbara, un rêve 🙂 !
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—
La femme bleue
Traverse notre vision,
C’est une flamme bleue,
En simple papiers collés,
L’écho du ciel,
S’y imprime,
Dans des courbes
Sans nuages,
Et ses découpes,
Ouvertes sur l’espace,
Assemblent tracés et lignes.
Ils se rencontrent,
–
Oiseaux dansants,
D’un rêve assis.
–
RC
( je me réfère ici aux papiers découpés de Matisse, et en particulier « le nu bleu » )
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à lire tel que …:)
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