A jamais Paris me parlera de toi
Et de la chanson de tes pas
Rythmant de leur ballet pointu
Tes longues déambulations perdues
Entre Notre Dame et la Seine
Et la fulgurance des nuits
Qui sur Paris jamais ne cèdent
Au froid, à la mélancolie
Et Geneviève voyant passer
Ta longue chevelure ondoyée
Du doux parfum de vélin et de cuir
De tes lectures déployées
Entre Proust, Kant et Husserl
S‘émerveille, j’en suis certaine
De ta joliesse rehaussée
De la fraîcheur de tes pensées
Parfois dans mes rêves soudains
Je mêle mes petits pas aux tiens
Et écoute avec bonheur
Tinter les vieux pavés d’argent
Entre Luxembourg et Grenelle
Entre nuit chaude et matin blanc
Et sur la terrasse enchantée
D’un beau café ensoleillé
Je m’assois, pour te regarder…
Oh, combien d’amour !!! J’adore… ça me touche et je ne peût pas éviter les larmes… c’est comme écouter la sonate kreutzer… Paris et ta fille…
Bisous.
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Merci beuacoup Barbara, ta sensibilité me touche !
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