Quand la lumière fuite le long des tuyaux
Derrière les carreaux où fume un homme tronc mélancolique
Que la ligne d’horizon tombe du côté obscur de la force
Que les cheveux blonds d’une belle ramènent le soleil sous la pluie
Un peu de Lyon, dehors, dedans
Côté cour où les encorbellements jouxtent les poubelles
Côté quai où une vanité clabaude de couleurs
Et moi je tends mon cœur au vent qui passe
Et mes rêves au cygne dormeur…