A vol d’oiseau j’avais imaginé
Attraper ta main, là, tout soudain
Et suivre les traces si fugaces
De ton désir d’ailleurs
Mais le soleil a brouillé les pistes
Incendié tes lignes de front
Et je m’égare en coulisses
Entre un nuage rondelet et une brise
Guettant le toit factice
La mûre frondaison
Où je pourrais poser mes ailes indociles
Et guetter le passage du vent
Qui te ramènera comme une saison douce
Et complice…
Poésie d’un instant fugace qui me la fait apprendre par coeur… elle est si belle!!!
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J’en suis terriblement flattée ! <mMerci, Barbara !
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