Claquemurée à l’ombre des volets
Soupente de nuit feutrée
L’haleine des absences frôle mon épaule
La chaleur me vêt
Lointaines Amériques dessinant au loin
Des itinéraires diaboliques
Je cherche en interstice un vaisseau lointain
Pour fuir la ville en ses brûlants émois
La rue bientôt sucera la trace de mes pas
Et moi je fondrai sans bruits sous le soleil
À peine l’écume d’un instant…
C’est formidable comme toi fermes les poèmes : »A penas la espuma de un instante » Precioso y muy evocador… !
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Ta sensibilité me touche toujours énormément Barbara !
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C’est pas ma faute! En toute cas ton art… qui reveille ma sensibilité. Bisous
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