Je te bénis, dimanche silencieux
Qui me prive de creuses paroles
Pas un son ne franchit en corolle
Les murs clos qui me tiennent de lieu
Tout est muet même mes beaux livres
Et leur pile posée sur le parquet
Qui attend impavide mon désir
Et se garde en sommeil et sans regrets
Temps précieux où seul le vent glisse
Son humeur froide et vagabonde
Sous le seuil de la porte, sans malice
Et s’en va son chemin d’un seul bond…
Je tiens calmes mes mains sur mes genoux
Reposoir doux de cette heure sans remous
Où les secondes renoncent à écrire
Quelque conte, sauf à dormir debout…
Correctrice, rédactrice, écrivain, poète, photographe 
Mais c’est joli les contes à dormir debout car lorsque l’on dort les rêves viennent et nous devenons candides,surpris comme lorsque nous sommes tout petits..rêvons toute notre vie ,ne soyons pas trop sérieux c’est beaucoup mieux.j’aime les récréations et sur votre page je me suis assise pour vous permettre de rire..soyez une petite enfant ,ne jouez pas comme les grands..pardon de cette intrusion:)
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C’est bien ainsi que je l’entends ! Asseyez-vous donc autant qu’il vous plaira, vous êtes bienvenue ici ! 🙂
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Merci .je vous remercie pour ce sympathique accueil .vous me donnez l’envie de vous découvrir..
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C’est une jolie réponse, Marguerite, dfnner envie, c’est plus qu’il n’en faut pour mon plaisir; merci !
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comment ne pas faire une halte sur vos pages ?j’aime votre moyen d’expression et,pour moi c’est tout bon:) bon weekend.
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Excellent week-end à vous Marguerite !
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