J’aimais t’emmener du bout de mes doigts
Là où l’air voltige
Passion attendue, yeux perdus, égarés d’audace
Dis, tu te souviens ?
Nous étions débaptisés
Calmes comme des oiseaux
Inatteignables
La mer refluait des rues et des cours
Le corps était un chant d’orgueil
Et le temps accroché à un portant de passage
S’effilochait pour rien
Nous ne l’entendions pas
Je marche à pas comptés au bord de ce vide
Demain, demain, je serai libre
Excavée, splendidement solitaire
Et l’eau me regardera…
Merci pour cette belle poésie Verlainienne …..alors emmenez moi plus loin au prés de votre moi sensible et créateur Gérard j’essaierai de m’habiller de vos mots …
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Merci Gérard, pour voitre lecture et votre appréciation.
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