Sortir par la fenêtre
subrepticement
à l’heure où le ciel s’attarde.
Collée à la façade, respirer le grand large
de la vie.
Avoir peur, délicieusement, de tomber.
Sentir le vent fouetter corps et visage.
Pénétrer dans votre crâne, s’y amuser.
Laisser votre cœur s’échapper
en jouant son rythme de fanfare syncopée.
S’accrocher à un gros nuage, s’y hisser.
Sauter à cloche-pied, semer des grains de nuit
des flocons de malice, des baisers de pluie
et sourire au chat qui sait autant que vous
Que la réalité n’existe pas.
Bello poema e imagen muy simpática !
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Allez, sors avec moi par la fenêtre !
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Oui, quand vous voulez!!!
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Chic !
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