En silence, un pas devant l’autre et rien de plus
Rien qu’un ciel gonflant de mollesse
Le cours de l’eau jetée, battue
Comme une femme qu’on délaisse
Comme une femme qu’on n’aime plus
La terre et moi, brunes et humides
Goûtant au vent les chants perdus
D’un seul oiseau qui s’éternise
Nous restons là, sœurs promises
A la pluie qui ne viendra plus
Superbes images et comme d’habitude un très beau poéme!!!
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Merci jolie dame !
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