Je ne dis plus rien, dis, tu m’entends ?
Plus rien…
J’ai épuisé mon peu de foi
déchiré les amarres avec mes dents
jeté mes habits du quotidien et brûlé ceux du dimanche
Je suis nue, je sens la pluie et le froid
le chaud, le dur, le soyeux
rincée de vie, frottée de sel et de miel
j’ai oublié tous mes combats
j’ignore pourquoi je suis là
Tout deviendrait donc possible ?
Et rire de tout, enfin, ce rire pur
à goût de rien
La rue m’appartient et mon silence
J’ai grandi, juste un peu
juste assez pour me glisser en terre d’oubli
c’est merveilleux les choses quand on les laisse aller
quand elles dansent sur le toit du monde
Je vais les regarder
se vider de tout , un rêve que peu arrive a réaliser . Toutes ces contraintes de sentiments , des lois , des aléas de la vie , bonheurs, malheurs , rêves réalisés , détruits et . Oui se retrouver soi même nu de toutes les contraintes , enfin vivre pour soi , vivre pour vivre !
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A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
surleaugeorges dit :
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17/06/2016 à 12:56
se vider de tout , un rêve que peu arrive a réaliser . Toutes ces contraintes de sentiments , des lois , des aléas de la vie , bonheurs, malheurs , rêves réalisés , détruits et . Oui se retrouver soi même nu de toutes les contraintes , enfin vivre pour soi , vivre pour vivre !
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Je ne puis rien ajouter …merci !
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