Une nouvelle chanson adaptée avec mes complices Francis et Ségolène, et une invite plutôt douce (surtout pour la saison 🙂 )
Ma mécanique indélicate
refuse de brasser les secondes
en se fiant aux heures figées
Sur les pendules de cheminées
Il me suffit d’être à l’aurore
de mes envies tant que j’y pense
le reste n’a pas d’importance
le reste n’a pas d’importance
Reste avec moi
contre le ventre du sommeil
Je t’en prie fuyons le réveil….
Viens à ma table, et reste un peu
laisse le temps filer ses quenouilles
et le vent souffler bredouille
contre les volets clos pour nous deux
Dans une autre ère marquée de feu
amusons-nous encore un peu
La vie sur ses talons perchés
courra sans nous sur les pavés
Reste avec moi
contre le ventre du sommeil
Je t’en prie fuyons le réveil….
Et si la vie insiste un peu
Faisons les sourds à qui mieux mieux
Pas envie de sortir des draps
Il fait vraiment beaucoup trop froid
Reste avec moi
contre le ventre du sommeil
Je t’en prie fuyons le réveil….
Très beau texte et tres belles images!
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Merci Barbara, c’est un exercie peu habituel chez moi qui ne suis pas du tout musicienne mais j’apprends 🙂
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