Pont solide, mur dressé contre la fenêtre
front pressé
Ta bouche petite, fruit déposé autrefois sur ma joue
maintenant se tait
A mon flanc ta tête appuyée
câline et confiante
oiseau caché
disait l’espérance d’un monde douillet
Que t’a-t-on pris mon fils
qui maintenant te tais
Ombre de ton ombre, en toute patience
je suis ton silence sans murmurer
ma douceur pour toi a toutes les nuances
Que te donner mon fils
qui maintenant te tais …