Le 5 janvier, en ouvrant les volets, j’ai vu que cette drôle de fleur était apparue dans la nuit. Posée comme une claque sur un visage. J’ai passé un long moment à regarder les gens qui tournaient autour, se retournaient , se poussaient du coude. Puis, j’ai voulu appeler le 115, qui n’a jamais répondu.
A la fin, la bise a soulevé le tout, qui était vide. Un précautionneux a coincé la tente sous une lourde poubelle pour qu’elle ne soit pas emportée. Elle y est depuis. Comme un rappel.
Un rappel … qui fait mal !
Bise, Colette.
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Bonjour Gilles, oui, mais il remet les idées en place ! Belle journée à vous !
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