Tes grands yeux de tendre femme
tes belles mains enluminées
ton chemin d’amour et de drame
ton enfance vive et concassée
mettent mon cœur à la criée
et à mon ventre cette flamme
que ta vie y a enchâssée
J’aime à penser que me rejoint
depuis les rives de la Seine
la litanie de ton refrain
qui tant me porte et tant m’enjoint
à goûter rires et chagrins
Je suis le paysan sans terre
qui regarde pousser un champ
(Natacha : celle qui est née)
Touchante tendresse…
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Merci Jean, c’est bon de la laisesr sortir de temps en temps 🙂
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Muy muy hermoso, querida Colette!
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Chère Barbara, ton enthousiasme est si stimulant ! je t’embrasse
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