Au milieu de tout cela, la Provence m’a saluée
Loin des parasols et des plages frangées de baigneurs
Loin du soleil assassin et des villas outrageuses
Non. Ce qui m’a saisie, ce sont les arbres
Les chênes-lièges et les châtaigniers
Les grands cèdres et les arbousiers
Et les pins centenaires taquinant de leur faîte
Un grand ciel indolent que des franges palmées
N’atteignent pas.
La lavande disputait aux olives la place
Sous les pieds, le sol crissait de mille épines
Dans ma main une pomme, sèche comme un vieillard,
Renfermait tous les parfums des étés
La mer n’est que l’écrin où la terre prend sa place
Sûre de son éternité
Bonjour Phédrienne. Bien votre nouvel écrit. Toutefois, si je puis me permettre et sans vouloir vous offensez, pour ma part, j’écrirais en ouverture « Au milieu de nulle part, la Provence m’a saluée ». Et quatre lignes plus loin « Ce qui m’a saisie, ce sont les arbres ». Mais cela n’engage que moi. Bonne continuation et bel été.
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Bonjour Criolo. Eh bien, le nulle part n’aurait pas convenu puisque j’étais dans un endroit précis. Pour le reste, tout est volontaire mais je ne m’offusque jamais qu’on ait un avis différent. Merci pour votre attention et bel été à vous aussi.
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Les parfums, les couleurs et les sons se répondent….vivifiant et salutaire…
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Merci beaucoup, pardon pour le retard !
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Pas de souci, nous souvent tous autant que nous sommes un peu en retard sur la vie en direct
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Hello Phèdrienne,
Un petit air de Provence remonte jusqu’à Lyon.
Merci pour ces senteurs.
Bizzz
John
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Merci John, bien en retard, mais sincèrement.
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Je tombé amoureuse de la Provence!!! Trés jolie…
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