Dans le parc vide, les fleurs ont survécu timidement à l’été caniculaire. Les roses sont exsangues, les bosquetss ecs et les écureuils cachés. Mais je persiste, grommelant dans mon masque qui me gêne, à chercher à quatre pattes les rescapées. Histoire de croire que demain il pleuvra et que tout refleurira bien mieux.





C’est le bouquet! 😉
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Bienvenue dans le monde wordpressé, cher Paul 🙂
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Je reste bouche bée!!! Très belles, très charmant; c’est sont comme un revê merveilleuse. Bisous ma belle poète, photographe, ècrivaine…
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Les fleurs nous racontent la vie autrement. Merci, Barbara !
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