INFORMATIONS PRATIQUES
06.77.53.03.69Du lundi au vendredi 9 H- 18 h 30
Contact par mail de préférence-
Rejoignez les 1 733 autres abonnés
Suivez-moi sur la toile
Trouver un texte par catégorie
-
Tout frais !
Commentaires récents
Phédrienne dans Plagiat ou pas ? le café de la page b… dans Plagiat ou pas ? Phédrienne dans Plagiat ou pas ? SALGRENN dans Plagiat ou pas ? le café de la page b… dans Plagiat ou pas ? Clients et sites partenaires
Ma toile
Photographes
- Cédric Pollet Photographe
- Frédéric Duperray
- Guillaume laget, Photographe nature
- HIkaru
- Ildikoneer photographie paysagère
- Le blog de Sébastien Fanget, auteur photographe
- Le regard de Claire
- Lunienne macro, lesite de Pierette Lu
- Marc Adamus
- Photomavi le site de Vincent Martin
- Richard Grenéron artiste photographe
- RvB images, un blog nature où les textes sont aussi bons que les images !
- Safari Photo nature, Brice Cornet
- Un regard sur la nature Elisabeth Faivre Thevenet
- Xavier Coulmier auteur Focalis
Sites artistes et auteurs
- Agnes Guyennon, artiste plasticienne
- Art et Tique et Pique Mots et gammes
- Barbara Carpi Images et poésie, littérature
- Diliz Light painting
- Entre 2lettres, le blog de Pascal Perrat, conseils avisés et jeux littéraires
- Imagier
- Karim Meziani artiste peintre
- Karol Bak art digital
- La brosse gherta
- La tribut du verbe
- Le blog de Paul Ardenne, historien d'art , essayiste et romancier
- Le café de la page blanche – le Rendez-vous des écrits vains
- Le site de Jean Paul Galibert Philosophe
- Mr Xerty
- Patrick Prigent
- Pierre Perrin
- Vitrail center
- Wall magazine
Sites d'Informations et créations
Archives de l’auteur : Phédrienne
La grande désillusion
Quand il fait chaud, la ville s’ankylose soudain et son grand corps brûlant se meut languissamment Pieds nus dans leurs savates, des hommes bedonnants et des femmes fleuries glissent nonchalamment près des murs où l’ombre s’invite La marche se fait … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Tagué La garnde désillusion, marche, poème dominical
Laisser un commentaire
Ego sum
Souvent je pars loin de moi laissant dans la rue ma grande silhouette et son regard de petit-duc, s’avancer à grands pas comme un gentil soldat Pendant ce temps ma tête vagabonde et secrète explore de la ville les vêtements … Lire la suite
Pentecôte
D’aussi loin que je m’en souvienne j’ai toujours détesté de la violence le fardeau Si peu de paix nous échoit qui du corps et de l’être apaise les désirs Et pourtant, je guerroie avec bien peu de mots et … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Laisser un commentaire
Blanc
J’aime le blanc impassible et cruel et cette commune liberté de n’y rien faire d’autre que penser sans rien garder des signes primitifs qui tracent sans peser leur ligne de fuite Ainsi, je m’invite au curieux abandon et joue dans … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Laisser un commentaire
Plagiat ou pas ?
Cette année, j’ai été sollicitée à deux reprises par des étudiants qui m’ont ouvertement demandé si j’utilisais des outils de détection anti plagiat et si j’acceptais de reformuler les passages litigieux à cet égard de leurs travaux. Sans hésitation j’ai … Lire la suite
Contrechant
Ne brutalisez pas ceux que vous aimez Comme vous, ils sont seuls et quand le jour les cueille au sortir d’eux-mêmes parfois ils font du bruit juste pour s’oublier Donnez-leur cette eau et ce pain qu’on octroie aux plus pauvres … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Laisser un commentaire
En avant !
J’ai marché il me semble 6500 pas et un gros orteil Il y avait un homme contrefait qui pointait de sa canne un chien venu d’ailleurs aux oreilles sataniques et au poil exubérant Il y avait une dame qui en … Lire la suite
Dimanche
Le dimanche, quand il pleut, je fais des crêpes, j’écoute de la musique, je cire mon parquet, j‘essaie de dessiner en tirant la langue et en fermant un œil, des fois que je verrais mieux la perspective. Parfois j’appelle des … Lire la suite
Quand viendra le temps de la liberté
Quand viendra le temps de l’innocence et de la liberté quand viendra le temps de fermer la maison je partirai sur les chemins et j’irai m’assoir au creux des forêts, sur des rochers austères et des troncs écorcés par les … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Laisser un commentaire
Germination
L’œil est accoutumé à regarder ce qui est grand, ce qui brille et flamboie, ce qui surplombe, écrase, rapetisse et subjugue Mais parfois une chose infime une créature de l’ombre, de la terre et de l’eau à peine abreuvée d’un … Lire la suite
Publié dans Les poésies de Colette
Laisser un commentaire