J’ai coupé mes amarres sur le pont
Le ciel était tombé dans le fleuve tranquille
Et s’y sentait si bien que pas même un frisson
Ne venait troubler ses douces rives
C’était comme un grand œil où se mirait la ville
Je naviguais dessus sans même le toucher
Partant si loin là-bas sous les arches dociles
Chercher le grand bruit de la mer
Et les déserts incandescents des frontières
Autant de pas jetés dupliquant l’infini
De tous les chemins de mon Compostelle
Marcheuse du néant invisible
Que l’eau sait si bien refléter
Quand je marche, moi je navigue
Sur des mers très agitées
Sous le grand bleu clair et limpide
C’est mon âme qui est troublée
Et cherche la candeur du vide
Qui saura si bien me combler…
Bravo, bravo!!! La photo est admirrable, MAGNIFIQUE et Olé Olé le texte!!! Naviguer comme ça…!
Bisous bleu ciel !
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Des bisous bleu ciel ? Quel bonheur, merci !
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Toujour à toi !
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Pures sentiments lyriques, Colette. Merci bien pour les partager.
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C’est un grand plaisir de lefaire Aurélio ! Merci à vous.!
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Excusez-moi, Colette, j’ai mené ce post a facebook sans votre permission! Je suis desolée…
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Oh mais c’est un honneur pour moi Barbara! Merci beaucoup !
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Oh merci beaucoup …c’est si joli que je n’ai rien pensé !
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