A quoi penses-tu caché dans l’ombre de tes cils ?
A rien, moi non plus…
Il y a peu, juchée sur un rocher de certitudes
Je construisais un monde de fer
Cerclé, solitaire, dangereux et futile
Il n’y avait pas d’entrée
Et puis, la mer y est passée
Rongeant de sels et de murmures
Tout ce que je croyais
C’est bien, je préfère mes vêtements de vide
Qui laissent la peau nue
Subtile, brute et limpide
Aux draperies de serments
A quoi sourient tes lèvres pleines et sanguines ?
A rien, moi non plus…
C’est beau comme un soleil inutile
Ardant ses rayons sur un désert brûlant
Et je danse impavide sur ses reflets cinglant
D’immobiles instants…
Bravo!!! Tes mots flambés de force centripète nourrit l’esprit… aliment liquide, solide, détonation des sens…!
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Merci Barbara! J’aime tellement la pétulance de tes commentaires, ce qu’on y sent derrière de vie et de rire ! 🙂
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Grand merci et bon week-end!
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A toi aussi chère Barbara !
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