A force de marcher sur tes pas de nuit,
je me suis essoufflée, un peu.
Prise à la gorge, gonflée d’ennui.
Cloitrée de cœur.
Parfois, aucune aile ne vient bruire
le battement du monde sonne creux
et je m’assieds
Le mur me regarde,
les choses me contemplent,
le silence me pousse,
tout est loin.
Le grand papyrus qui hisse ses ombelles,
fâché de la pénombre qui règne là,
est à cet instant bien plus vivant que moi.
Mais je suis aussi tendue que lui
vers la lumière,
et tout est dit…
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