Non, vraiment, non ! Parce que vois-tu, elles sont imparfaites comme nous. Comme nous, superficielles et trompeuses dans leurs apparats de soieries, leur maquillage de pastels ou de feux. Parce qu’elles sont si fragiles, éphémères, soumises aux caprices du soleil et de l’eau ; jamais pareilles et toujours là. Quand je les prends en image, ce sont elles qui me capturent dans le silence des jardins, le monde de dissout, il n’y a plus rien. Et surtout, elles et moi, nous nous taisons.
Tu sais, parfois, cela fait tant de bien…
On ne s’en lasse jamais hein de photographier des fleurs; Très belles photos en tout cas !
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Bonjour Souffleur de mots. Merci vivement pour votre visite et pour votre regard.
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« N’en as-tu pas marre de photographier des fleurs ? » dit une tomate sur sa grappe perchée.
« Non, vraiment, non ! Parce que vois-tu… » lui répondit la photographe émerveillée, avant de conclure : « Et surtout, elles et moi, nous nous taisons. Tu sais, parfois, cela fait tant de bien… »
La tomate vexée devint toute rouge et se tut pour de bon. Quand…
Hop ! Capturée, mélangée, assaisonnée, la belle rouge se fit croquer à son tour, en salade le soir même…
Petit clin d’oeil de potager qui vous boude 😉
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Bonjour Antonio
Sur le mur de mon salon, devinez –un peu ce qu’il y a ? Deux photos de tomates réalisées par moi, justement . Et si j’avais un potager, je passerais beaucoup de temps à le photographier aussi ; (Avis en passant aux visiteurs jardiniers situés pas trop loin, je viens faire des photos quand vous voulez !)
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