Lors, tu n’as plus de pays
Que mon regard en puits perlé
De larmes pures enrubannées
De sel et puis de sable
J’ai joué à attendre tes heures
Mille secondes et je demeure
A cheval sur l’aiguille creuse
Tic- tac, cherche mon midi
Et je serais ton lendemain
Cherche mes matins
Et je te donnerais mes fièvres
Ou reste loin !
Aux impossibles, je suis tenue
Puisque j’écris au charbon et à l’encre
Et que le doux pastel de mes attentes
S’est dilué dans ton vélin…
Comme tu maîtris les ustensiles des artistes, le charbon , le pastel, l’encre…! Tout de maniére superlatif!!! J’adore, belle sorcière de la Poésie!
Bisous et bisous.
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Bonjour Barbara
Je ne maîtrise rien mais j’aime tant cela ! Le mariage de la amtière et de l’esprit, c’est ça aussi, l’art !
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